Histoire du domaine

Le domaine familial est niché sur les hauteurs de la Vallée du Layon à Saint-Lambert-du-Lattay en Anjou depuis maintenant 3 générations. Le vignoble s’étend aujourd’hui sur un joli parcellaire de 28 hectares en conversion vers l'agriculture biologique.  Quentin, Véronique et Pascal Cailleau, les dernières générations à la tête du domaine, mènent leurs vignes selon les principes de la bio, avec rigueur et précision. Le domaine cultive de manière empirique les cépages chenin, cabernet franc, cabernet sauvignon, grolleau noir et gris, gamay et chardonnay.

Les origines du domaine sont lointaines. Elles remontent à 1866 quand les premiers ceps de vignes furent plantés, arborant les moulins implantés à l’époque sur les coteaux de l’Hyrôme (rivière affluant du Layon en rive gauche et sous affluant de la Loire). L’aventure commencera réellement pour notre famille en 1947. Par passion du vin, Francis et Donatienne Cailleau seront les premiers à poser leurs valises au domaine Sauveroy avec seulement 3 hectares de vignes.

Une aventure familiale qui continue avec Pascal Cailleau, le dernier de la fratrie de 8 enfants, qui reprendra le domaine en 1984 alors qu'il n'avait que 19 ans. Passionné par la vigne et le vin, Pascal s'oriente très jeune vers des études de viticulture oenologie. Il fera ses stages en Bourgogne puis en Californie avant de rejoindre ses parents en Anjou. Véronique Cailleau, son épouse, rejoindra très vite l'aventure en 1987. Ensemble, ils travailleront sans relâche, et orienteront la production vers un haut niveau de qualité. Ils se lanceront au début des années 1990 dans la viticulture raisonnée, respectueuse de l'environnement.

Bercé dans les vignes depuis tout petit, le cadet Quentin reprend le flambeau dès 2018. Très curieux et passionné par le monde du vin, Quentin se forme d'abord en marketing et en commerce puis explore le continent américain d'Est en Ouest ! De retour en France, Quentin débute ses études en viticulture œnologie à l'Université Supérieure d'Angers (ESA) et voyage pendant près de deux ans dans les très belles régions viticoles du Portugal, d’Espagne, de Hongrie et de la Vallée du Rhône. Doté d’un lien très naturel à la terre et à la vigne, Quentin oriente dès 2019 le vignoble vers l’agriculture biologique et expérimente de nouvelles méthodes de vinification en amphores.